SECONDE GUERRE MONDIALE
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SOMMAIRE
ENTREVUE HITLER / FRANCO VIDEO
RESEAU COMETE FILM VIDEO
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La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dura du 1er septrmbre 1939 au . 2 septembre 1945 Ce conflit planétaire opposa schématiquement deux camps : les Alliés et l'Axe.
Provoquée par le règlement insatisfaisant de la Première Guerre Mondiale et par les ambitions expansionnistes et hégémoniques des trois principales nations de l'Axe Allemagne nazie; Italie fasciste et Empire du Japon, elle consista en la convergence, à partir du 3 septembre 1939, d’un ensemble de conflits régionaux respectivement amorcés le 18 juillet 1936 en Espagne (la Guerre d'Espagne ), le 7 juillet 1937en Chine (la guerre sino-japonaise ), et le 1er septembre 1939 en Pologne puis par l'entrée en guerre officielle de l'ensemble des grandes puissances de l'époque : France-Royaume uni et leurs empires dès le 3 septembre 1939, URSS à partir de l'invasion allemande de juin 1941, Etats-Unis le 7 décembre 1941 dans un conflit impliquant la majorité des nations du monde sur la quasi-totalité des continents. La Seconde Guerre mondiale prit fin sur le théâtre d'opérations européen le 8 mai 1945 par la capitulation sans condition du IIIème Reich puis s’acheva définitivement sur le théâtre d'opérations Asie-Pacifique le 2 semptembre 1945 par la capitulation sans condition de , Empire de Japon dernière nation de l’Axe à connaître la défaite.
La Seconde Guerre mondiale constitue le conflit armé le plus vaste que l’humanité ait connu, mobilisant plus de 100 millions de combattants de 61 nations, déployant les hostilités sur quelque 22 millions de km², et tuant environ 62 millions de personnes dont une majorité de civils. N’opposant pas seulement des nations, la Seconde Guerre mondiale fut aussi la plus grande guerre idéologique de l’Histoire, ce qui explique que les forces de collaboration en Europe et en Asie occupées aient pu être solidaires de pays envahisseurs ou ennemis, ou qu’une résistance ait pu exister jusqu’en plein cœur de l’Allemagne nazie en guerre. Guerre totale, elle gomma presque totalement la séparation entre espaces civil et militaire et vit, dans les deux camps, la mobilisation poussée non seulement des ressources matérielles – économiques, humaines et scientifiques – mais aussi morales et politiques, dans un engagement des sociétés tout entières. Wikipedia
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Avant l'Occupation
ALLEMANDE
La frontière voit passer tous ceux qui cherchent à fuir l’occupant nazi.
De Souza Mendes
22 au 25 juin 1940 :
Aristides de Souza Mendes
Consul du Portugal
Retrouvaille avec le pont ...... quelques années après
Plaque commémoratrice au jardin des Déportés
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L'arrivée des Allemands au Pont International
Les forces hitlériennes arrivèrent et le 27 juin en fin d'après midi le Herr Doktor Wist Brandt se trouva être le premier militaire d'occupation à parvenir au pont Santiago. Le 29 juin vers 11 heuresle général allemand parvenait à son tour au même endroit et il allait saluer son homologue espagnol le général Lopez Pinto, puis les deux généraux de concert traversèrent la frontière du côté français pour aller passer en revue un bataillon d'éclaireurs SS
Oihenart
Avion Allemand abattu par la R.A.F. anglaise
1946. Les Allemands étendent leur mur de l'Atlantique jusqu'à l'extrémité de la France occupée et installent à Hendaye une batterie complète en blockhaus avec conduite de tir et souterrains au-dessus des Jumeaux, plus un blockhaus isolé à la pointe de la plage et plusieurs réduits à tourelles. Les Espagnols fortifient ensuite des crêtes en arrière d'Irun.
LE QUOTIDIEN
1940 Cette année-là, Hendaye est le théâtre d'un événement qui appartient à la grande histoire : l'entrevue que le général Franco et Hitler eurent en sa gare.
Ici, Hitler, au point culminant de sa force, a buté ! L'astucieux gallego, avec une finesse que nous dirions paysanne ou normande, a su lui refuser toute alliance et contrer ses projets; il rendit ainsi à la France et à l'Angleterre un immense service qu'il serait injuste et ingrat d'oublier.
ENTREVUE HITLER FRANCO
Deux divisions hitlériennes attendaient, dans les Landes, l'ordre de franchir la frontière; elles reçurent celui de s'en retourner.
Les habitants du quartier de la gare n'ont pas oublié le sinistre train, gris et camouflé, aux wagons plats, en tête et en queue, hérissés de canons anti-aériens, qu'ils purent entr'apercevoir en bravant la défense qui leur était faite de se mettre à la fenêtre. Ils se souviennent encore des coups de fusils tirés par les S.S. sur les fenêtres entr'ouvertes.
Le jour de l'entrevue Hitler-Franco renforcement de la sécurité
Pour notre part, nous avons eu la bonne fortune de rencontrer une personnalité française, ayant pu disposer de documents officiels, et qui a bien voulu rédiger la note ci-dessous publiée, avec son accord, in extenso.
Bien que son auteur ait eu la délicatesse de ne vouloir inclure sa signature dans un livre, ne lui devant rien d'autre, nous sommes en mesure d'affirmer la qualité de l'information, sa source d'une valeur historique incontestable.
L'entrevue Hitler-Franco en gare de Hendaye eut lieu le mercredi 23 octobre 1940, entre les deux rencontres à Montoire, près de Tours, de Hitler avec les dirigeants français (le 22 avec Laval seul, le 24 avec le Maréchal Pétain accompagné de Laval)
. Hitler voyageait à bord de son train blindé personnel. Il avait avec lui son ministre des Affaires Etrangères Ribbentrop.
Hitler venait demander à Franco son entrée en guerre aux côtés de l'Allemagne et de l'Italie dans le cadre d'une opération dite « Plan Félix », mise au point durant l'été notamment par l'amiral Raeder, commandant en chef de la flotte allemande.
L'opération était destinée à fermer la Méditerranée aux Anglais par la prise de Gibraltar, et à prévenir une intervention anglaise et gaulliste en Afrique du Nord.
Les Allemands se proposaient également d'établir des bases aux Canaries. L'affaire aurait lieu dans les premiers jours de 1941. Les forces motorisées allemandes traverseraient l'Espagne de Irun à la Linea.
L'attaque sur Gibraltar, prévue pour le 10 janvier, serait conduite par 2 000 avions de la Luftwaffe, des mortiers géants et les troupes d'élite, qui avaient déjà enlevé les forts de Liège.
La vieille forteresse anglaise, mal armée, dépourvue d'une D.C.A. suffisante, ne pourrait pas opposer de résistance sérieuse à de tels moyens. Gibraltar, reconquise, serait aussitôt restituée à l'Espagne. En même temps, un corps blindé allemand occuperait le Portugal pour y prévenir un débarquement anglais.
Des contacts avaient déjà eu lieu à ce sujet à Berlin, au mois de septembre, entre Hitler, Ribbentrop et Serrano Suner, beau-frère de Franco, chef de la Phalange, considéré comme le n° 2 du régime espagnol et l'homme le plus favorable à l'Axe. Serrano Suner admirait Hitler, mais avait été choqué, durant son séjour à Berlin, par la brutalité de Ribbentrop, qui menaçait l’Espagne d’une occupation militaire si elle contrecarrait les plans du Führer.
La position de Franco était très délicate. Il ne pouvait pas oublier l'aide que lui avait apporté l'Allemagne durant la guerre civile avec les avions et les spécialistes de la Légion Condor
. Une partie de l'opinion publique espagnole était très favorable à une entrée en guerre aux côtés de l'Allemagne victorieuse. D'autre part, le pays était ruiné par trois années de batailles, presque au bord de la famine. II dépendait pour son ravitaillement en vivres, en pétrole de l'Angleterre et des Etats-Unis.
Londres et Washington, malgré leur hostilité idéologique pour le régime franquiste, entretenaient avec lui des rapports corrects, afin de sauver Gibraltar. L'Angleterre exerçait, en outre, une forte pression sur les milieux financiers les plus influents de Madrid.
Le 23 octobre, le train de Hitler arriva, le premier, à Hendaye. Celui de Franco avait une heure de retard, que Hitler et Ribbentrop passèrent en déambulant et causant sur le quai. Franco arriva à trois heures de l'après-midi. Il était en petite tenue de général, avec le calot à glands. Les entretiens commencèrent dans le wagon de Hitler. On les connaît surtout par le récit du traducteur habituel de Hitler, Paul Schmidt, qui assista à toute l'entrevue.
La tactique de Franco était de ne rien refuser, mais de poser à son intervention des conditions, qui feraient reculer le Führer
. II laissa Hitler monologuer longuement, sans montrer la moindre réaction. Quand Hitler eut développé son plan, fixé la date du 10 janvier pour l'attaque de Gibraltar, Franco parla à son tour, « d'une voix calme, douce, monotone et chantante, rappelant celle des muezzins », dit Paul Schmidt.
II protesta de l'amitié et de la reconnaissance de l'Espagne pour le IIIè Reich et revendiqua pour elle l'honneur de reconquérir Gibraltar
. Mais il fallait qu'elle s'y préparât. Or, son armée était réduite à 300 000 hommes sans aucun équipement moderne. Son entrée en guerre aux côtés de l'Axe posait, en outre, un très grave problème de ravitaillement. Il fallait que l'Allemagne pût lui fournir 100 000 tonnes de céréales, du carburant. Franco réclamait, en outre, la majeure partie du Maroc français, le littoral algérien jusqu'à Oran et un agrandissement des colonies espagnoles en Afrique noire.
Les revendications espagnoles sur l'Afrique du Nord étaient particulièrement inadmissibles pour Hitler, qui, à ce moment-là, ne voulait pas « désespérer la France » et la faire basculer dans le clan gaulliste au Maroc et en Algérie, où le prestige de Pétain était considérable.
Le ton monocorde, la placidité de Franco portaient sur les nerfs du Führer. II faillit à un moment donné rompre l'entretien, puis se ravisa. Un dîner eut lieu dans son wagon-restaurant, à la suite duquel le dialogue des deux dictateurs se poursuivit encore pendant plus de deux heures.
Seul résultat de cet entretien de neuf heures, si désagréable à Hitler, qu'il aurait préféré, disait-il, se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer: les deux parties convenaient d'établir un vague traité, portant sur le principe de l'intervention espagnole, mais sans en fixer la date, et en la subordonnant à des livraisons d'armes et de ravitaillement, dont le détail n'était pas abordé.
Les clauses restaient non moins imprécises pour ce qui concernait la possibilité de satisfaire les visées territoriales de l'Espagne en Afrique. Ribbentrop et Serrano Suner, devenu depuis peu ministre des Affaires Etrangères d'Espagne, étaient chargés de la rédaction de ce pacte, qui n'alla pas sans heurts violents entre eux.
A Hendaye, l'antipathie avait été réciproque entre les deux dictateurs. Pour Franco, Hitler était un comédien, qui montrait trop ses procédés. Pour Hitler, Franco était un homme courageux, mais sans envergure politique...
Comme Franco n'avait opposé aucun refus, les Allemands ne tardèrent pas à relancer l'affaire. En novembre, Hitler invita Serrano Suner à Berchtesgaden, pour n'obtenir de lui que des réponses aimablement dilatoires. Au cours de cette entrevue, Hitler parla, sans doute également, de son intention de faire passer au Maroc Espagnol au moins deux divisions allemandes. Il exposait, quelques jours plus tard, à Mussolini la nécessité de cette mesure.
En décembre, l'amiral Canaris, chef de l'Abwehr, rendit visite à Franco à Madrid, lui annonça l'intention de Hitler d'attaquer Gibraltar le 10 janvier, après que l'Espagne ait laissé libre passage à ses troupes.
Franco, nullement intimidé, répondit qu'il était impossible pour l'Espagne d'entrer en guerre à cette date, et que sa cobelligérance dépendrait du ravitaillement et des armes que l'Axe pourrait lui fournir.
Hitler demanda alors à Mussolini de servir d'intermédiaire pour fléchir Franco. L'entrevue du Duce et du Caudillo eut lieu le 1er février à Bordighera. Elle fut très cordiale. Mais Franco maintint sa thèse : l'Espagne ne pouvait entrer en guerre qu'après que l'Allemagne lui eût apporté une aide effective. Il se plaignait, en outre, que l'Allemagne eût choisi de collaborer avec la France plutôt que de satisfaire les revendications espagnoles sur l'Afrique du Nord. (Ce qui ne l'empêcha pas, en revenant d'Italie, d'avoir une rencontre cordiale avec Pétain à Montpellier et d'envisager avec lui la meilleure méthode pour résister aux Allemands sans les irriter.
Rentré à Madrid, il dénonça le protocole de Hendaye, qu'il considérait comme dépassé par les événements. Il contestait, en outre, comme il l'avait déjà fait, que la prise de Gibraltar pût avoir une valeur décisive pour la conduite de la guerre si le canal de Suez restait ouvert aux Anglais. ( F )
Réseau
Libé Nord
D'abord journal clandestin, dès décembre 1940, Libération-Nord se transforma en novembre 1941 en un mouvement de résistance. Se voulant l'expression des mouvances syndicales CGT non communiste, CFTC et de laSFIOclandestine, il s'est formé autour de Christian Pineau et de l'équipe du Manifeste des douze. Sans être seuls, les socialistes sont hégémoniques dans ce mouvement.
CARRICABURU . PAUL PUJO
Résistance Fer . Marc
Le mouvement est créé au début de l'année 1943 par Jean Guy Bernard et Louis Armand secondé par tJean Marthelot, avec l'aide des directeurs de la SNCF Albert Guerville du réseau Cohors Asturie et Emile Plouviez. Résistance–Fer est considéré comme Réseau des Forces Françaises Combattantesqui sera rattaché à la Délégation Générale. Après l’arrestation de Jean-Guy Bernard en janvier 1944 c’est Armand qui prend la direction de Résistance Fer, sous le contrôle de Jacques Chaban Delmas
Réseau Castille
Fondée en septembre 1940, la Confrérie Notre-Dame est un réseau de renseignements ralliée à la France libre. C'est l'un des premiers réseaux du (BCRA). Ce réseau français libre est sans doute le plus important réseau de renseignements militaires de la Résistance. Il est aussi l'un des tout premiers créés en France, grâce à un agent exceptionnel envoyé vers la métropole dès l'été 40 par le 2e Bureau de la France Libre, Gilbert Renault dit « Raymond » (plus tard « Rémy »), qui donnera à son organisation le nom de Confrérie Notre-Dame afin de la placer sous la protection de la Vierge.
À l'automne 1943, la trahison de deux radios, « Tilden » et « Alain », a des conséquences catastrophiques : elle entraîne une centaine d'arrestations, et Rémy doit se réfugier en Angleterre. Mais en décembre 1943, le réseau est reconstitué par Marcel Verrière (alias « Lecomte») à partir des cellules encore actives sous le nom de « Castille » et continuera à fonctionner jusqu'à la Libération. D'après les recherches effectuées, CND-Castille aura compté au total 1544 agents.
Henri dit Dominique PEYRESAUBES ( Résau Belge " Marc- France )arrété le 6 mars 1943 Déporté Buckenwald 14/9/1943 Mort au camp 26/10/43
André HATCHONDO ( +( Réseau CND, puis CND Castille après mars 1943) Parvenu jusqu'a la Libération sans arrestation malgré les hécatombes du réseau. Maire socialiste de Hendaye à la Libération
Pierre DETCHEPARE ( Réseau LibéNord + Castille-1943 organisé par le Capitaine ( futur général )Bergé.. Organise des passages pour ces Réseaux..Comité Local de Libération
Pierre HARGOUET : Renseignements la frontière.Lieutenant FFI à la Libération.Liaison avec le commandant Passicot ( Réseau Ossau )
Philippe LARRAMENDI Pharmacien à Hendaye Réseau OSSAU
Commant Jean PASSICOT
Denise CALLAU Pharmacienne à Hendaye
Melle MONTAIGNE de ENA médecin à Hendaye
Jean GabrieL MONDET
Ce relevé de Résistants n'est évidemment pas exaustif il ne peut que s'ajouter au relevé des déportés.
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RESEAU NIVELLE BIDASSOA
Réseau très local
Implanté à Saint Jean de Luz et dirigé par Jean Louis DUPREUIL industriel luzien originaire de Saint Etienne de BaïgorryLe réseau recueille des renseignements transmis au consulat anglais de Saint Sébastien. le Réseau sera démantelé lors des rafles les 8 9 et 10 juin, plus d'une vingtaine de personnes seront arrêtées par les rafles de la Gestapo sur les communes de Saint Jean de Luz Ciboure dont le maire Mr Aberry et de Hendaye
Peu en reviendront
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Réseau NANA
Réseau Américain
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Réseau OSSAU
Comandant PASSICOT
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O.R.A
Organisation Résistance Armée
principal réseau de résistance francais organisé par le général de Gaulle depuis Londres, et son représentant en France le colonel Rémy
.Ce réseau devait recueillir, le plus de renseignements possibles, sur les mouvements des troupes d'occupation, et faciliter l'acheminement vers l'Angleterre des volontaires et des personnalités voulant rejoindre les Forces Françaises Libres.
Correspondant à Hendaye,
Père Armand FILY
qui fournit un gros travail pour le réseau.
Père Joseph Fily juin 1969 :
Il s’engage en 1939, (deuxième Bureau) et poursuit après l’armistice ses activités d’agent de renseignements (en particulier sur la Côte Cantabrique espagnole). 1941: Réseau Vengeance. Renseignement, organisation de passages clandestins de la frontière pour les réfractaires au S.T.O., résistants, aviateurs abattus. Il ne sera arrêté qu’au mois de juin 1944. À Dachau, le père Joseph sera choisi par Edmond Michelet pour devenir l’homme de confiance des intérêts français. C’est à ce titre, qu’il siège dans le Comité clandestin international en particulier dans le domaine de la solidarité permettra de sauver plusieurs centaines de déportés. Le père Fily reste pour tous les survivants de Dachau, une grande figure.
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RESEAU COMETE
Le réseau Comète est un groupe de résistance lors de la Seconde Guerre Mondiale. Actif en Belgique et en ,France ses membres ont aidé les soldats et aviateurs alliés abatuts par la DCA allemande à retourner au Royaume uni.
La ligne commençait à Bruxelles où les hommes étaient nourris, vêtus et recevaient de faux papiers d'identité avant d'être cachés. Le réseau les guidait ensuite vers le sud par France occupée jusqu'en Espagne neutre et Gibraltar (sous contrôle britannique).
L'Histoire de Comête sera racontée en détail .DEPUIS URRUGNE ET LES FERMES DE BIDEGAINBERRI , TOMAS ENEA et JATXU BAITA , rejoignant la ferme de SAROBE en Espagne point de destination , en ayant fait de nuit le tour des 3 couronnes , suivi du film racontant cette histoire.
L'HISTOIRE DU RESEAU
MARIA- LUISA GARAYAR ESCUDERO
et MARITXU ANATOL .
le FILM TOME 6
Dans DOCUMENTS
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Ordoki
KEPA ORDOKI
Pedro Estaban Ordoki Vazquez ( Kepa )
Défenseur d'Irun, futur commandant du Bataillon Gernika
Né le 3 Août 1912 à Irun quartier Meaca, dans la ferme Ibarla. En poursuivant ses études, il pratique divers métiers, en particulier dans le bâtiment. Il milite tout jeune au syndicat STV, puis à l'organisation de gauche ANV. Son service militaire terminé, il se marie au mois de mai 1936. Autant dire que le soulèvement franquiste du 18 juillet le surprend en pleine lune de miel.Dès le premier jour Kepa se jette pleinement dans le combat. Quoique nationaliste, il sera l'un des proches du lieutenant Ortega et de Manuel Cristobal Errandonea. Dès les premières heures c'est lui qu'Antonio Ortega charge d'apporter une lettre à son homologue , le lieutenant des carabineros de Véra de Bidassoa, afin qu'il affirme, avec ses hommes, son engagement pour le camp de la république, ce qu'il obtient .Ordoqui fait partie du groupe de volontaires civils qui,pratiquement dépourvu d'armes de guerre, se trouve pris à Lesaca, dans le premier engagement avec les avant-gardes rebelles. Il sera par la suite de tous les combats, en particulier à San Martial, lors des héroîques journées de fin Août et début septembre 1936.
Irun perdu il n'abandonne pas le combat. Il ne passe pas en France, mais fais retraite avec les derniers combattants par le Jaïzquibel. Après la chute de Saint Sébastien, il est blessé lors des durs combats du Sollube. En mars 1937, sa famille est capturée sur le tristement célèbre navire << Galdames >>. En juin, Pedro Ordoqui est nommé commandement du Bataillon Saint Andrès. Fait prisonnier ,il est successivement interné aux prisons de Larrinaga, Santona et Burgos., et le 3 septembre il est condamné à mort.Son exécution est reportée plusieurs fois.Le 28 juillet 1939 il s'évade de prison. Après un mois de marche clandestineil réussit à atteindre Biriatou.Arrêté par la gendarmerie française. interné au camp de Gurs, il s'évade à nouveau et passe dans la clandestiné.Mais une nouvelle arrestation survient, Kepa est cette fois arrêté avec des journeaux interdits déclarés subversifs.Lors de l'invasion Allemande de 1940, il passe en zone non occupée ( jusqu'au 11 novembre 1942 )Après cette date, à Luchon la Gestapo l'arrête. Torturé il doit être conduit à Peyresourde pour y être exécuté.. Et là encore miraculeusement Kepa réussit à s'enfuir..Repéré et intercepté dans un village, lors des fêtes locales, il trompe une fois de plus ses poursuivants par la promptitude dans sa fuite - 1 -
En 1944, Kepa met sur pied le bataillon Gernika, lequel avec 130 combattants volontaires d'Euskadi, mènera les durs combats pour éliminer les réduits bétonnés des poches allemandes de l'Atlantique.Du 14 avril 1945, jour du débarquement de l'offenssive, au 20 avrille bataillon Gernika participe à ces combats, écrivant une nouvelle page de la lutte des basques pour la démocratie et de la liberté, contre ceux là même qui, il y a 8 ans, presque jour pour jour, écrasaient sous les bombes la ville symbole de leur liberté.Près d'un tiers des << gudaris basques >> seront tués ou blessés. La guerre terninée, Keta Ordiki se retire à Hendaye. Entre temps, en son absence d'Irun une juridiction militaires l'a condamné à la peine de mort . En mars 1960 , il préside les funérailles du
<> - 2 - Puis, à son tour , meurtri à la fois par le cancer et par les douloureuses divisions du peuple basque, il s'éteint à l'âge de 81 ans, à l'hôpital de Bayonne, le 28 novembre 1993.
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1 Récit dans la collection en 7 volumes 1936 La guerra civil en Euskual Herria
( Directeur INAKI Egana ) tomre IV
2 Premier président de la République Basque
Mes camarades, Raoul LANOT en 1 , et Jean RACHOU en 2 . ont franchi la Bidassoa , ont été fait prisonniers par la Guarda civil , enfermés au camp de Miranda et après quelques mois de détention , dirigés vers le Maroc.
Là ils se sont engagés dans la deuxième DB du Maréchal Leclerc , fait le débarquement de Normandie et Libéré Paris. Ils ont continué leur course vers Strasbourg pour terminer au nid d'aigle de Hitler à Bertesgaden dont ils se sont emparés. Tout celà sans jamais cesser de combattre.
Joli parcours pour nos deux Hendayais de vingt ans.
Il doit y en avoir beaucoup d'autres que nous ignorons et que nous voudrions bien connaître.
A la libération nous nous sous nous retrouvés tous les trois à Paris. Nous n'avons pas parlé de la guerre.
En 3 Je pense à Roger Caubet que rencontrais par le plus grand des hasards sur la place qui fait façe à la grande poste d'Alger. Nous nous croisions, j'ai vu un marin avec son bérêt et son popon rouge. Stupeur,.. venir de si loin et se retrouver si près,. Un grand moment pour nous deux
.Nous avons parlé longuement dans le café le plus proche .Il devait retrouver son navirre de guerre qui patrouillait en Médierranée à la recherche de sous marins allemands ou italiens ,assez nombreux. Ils nettoyaient le chemin que nous emprunterons lors du débarquement en Provence.
Roger de retour sera facteur à la poste de Hendaye.
En 3 Loulou Rivière résistant de la première heure qui sera déporté et écrira le livre de ses souvenirs
En 4 le conteur.
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F.F.I LISTE HARGOUET 114
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Etat des Déportés-de L.Rivière
Etat des déportés par Gérard Lafon
3 busto
4 delvaille
4 faingold
5 garayo
6 maiz
7 michelena
8 pastor
9 subsol
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Hendaye toujours occupée par l'armée allemande allait connaitre une de ces journées les plus noires de son histoire . Une rafle de la Gestapo à l'aube des 9 et 10 juin 1944 permit d'emmener vers les camps de déportation le Maire de Hendaye, son adjoint, ainsi que divers conseillers municipaux, le curé. de Hendaye-plage . Il faut souligner le courage de ces hommes, pour la plupart résistants et membres du groupe LibéNord qui, prévenus de l'imminence de leur arrestation, après une décision commune, ne s'échappère pas, évitant à leur famille des représailles.
Léon Lannepouquet , maire depuis 1925, Jérome Faget adjoint, Dominique Testavin, secrétaire,Joseph Artola et et Jean Darbouet conseillers municipaux, Jean Courrège hôtelier, moururent à Dachau
A cette liste s'ajoutent L'abbé Simon Paul ,curé de la plage.Seuls Julien Carricaburu, et le père Fily revinrent vivants .
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Notre commune peuplée de 6436 habitants paya un lourd tribut pour la victoire du 8 mai 1945
63 déportés se composant en 60 hommes et de 3 femmes dont une de 19 ans
10 hommes de moins de 20 ans
combattants : 37 sont morts en martyrs
3 internés en vue de déportation dont 1 fusillé
34 combattants " Morts pour la France"
63 évadés de France dont 2 sont morts
165 prisonniers de guerre
63 évadés de France " morts pour la France "
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Plaque à la mémoire des déportés
Auswitch
Auswitch
Ravensbruck
fours crématoires
Buchenwald
Nourriture du camp de DACHAU
Matin : 350 grammes de pain, 1 demi-litre de succédané de café
Midi : 6 fois par semaine 1 litre de soupe (avec carottes ou choux blanc)
1 fois par semaine i litre de soupe aux pâtes. 20 à 30 grammes de saucisson ou fromage et 3 quart de litre de thé
3 fois par semaine : 1 litre de soupe
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BORDABERRY Résidence du Général Brutinel
Churchill à la plage
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